Radio, TSF, galène, électronique de Hertz aux années 60
Aqui Radio Andorra, acte 1
ACTE 1 : RADIO-TOULOUSE
Quoi de plus naturel aujourd’hui, le matin en particulier, que de « tourner » le bouton de son poste de radio souvent portatif et à coup sur à transistors ou à circuits intégrés, de hausser le son (les plus chanceux ayant une touche de mise sous tension , On/Off, Marche/Arrêt, Ein/Aus, I/O, ou que sais-je encore) puis de chercher un poste, une station, là aussi en tournant un autre bouton (ou des touches si on a des varicaps). Çà y est, c’est justement celle là que l’on voulait entendre ou écouter, certaines d’État payées par la pression fiscale, généralement sans ou peu de publicité, souvent sérieuses, voire soporifiques. D’autres sont privées, nationales, EUROPE 1, RTL, pour ne citer que celles là, dites généralistes, payées par la publicité ou réclame (suivant votre âge), qui proposent de l’info., des documents, des interviews etc…, les ex-radios libres en majorité lymphocytées par de grands groupes ( NRJ, NOSTAGIE, CHERIE FM, RFM….) qui passent de la musique plus ou moins bruyante coupée par la pub généralement tous les quarts d’heure avec un pool propre de journalistes ou faisant appel, pour les infos, à des services ad-hoc. Enfin nous avons les radios associatives, locales pour la plupart. Tout ce petit monde se retrouve sur la bande FM qui n’en demandait pas tant !
Mais cela n’a pas toujours été le cas, il y a moins d’un siècle, c’était la friche avec quelques « Don Quichotte » qui pressentaient l’essor d’un média nouveau, quoique le terme n’était pas encore répandu.
La FM n’était qu’une théorie expérimentée en laboratoire et c’est l’âge d’or de la Modulation d’Amplitude : AM.
Les émissions se font pour la plupart de la Tour Eiffel, sous contrôle d’État, et il y a quelques balbutiements……..
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